A Paris, la #Seine déborde. connaîtra-t-on cette année une #crue #centennale en pleine #crise #sanitaire ?

EN IMAGES. Vigicrue a placé la majorité des portions de la Seine en vigilance jaune en Île-de-France.    A Paris, la Seine est sortie de son lit. Le niveau du fleuve a grimpé lundi 1er février entre 4,09 et 4,24 mètres dans la capitale, selon Vigicrue, le site de surveillance des cours d'eau, qui a par ailleurs placé la majorité des portions du fleuve en vigilance jaune en Île-de-France. "Ce niveau correspond à un risque de crue ou de montée rapide des eaux n'entraînant pas de dommages significatifs, mais nécessitant une vigilance particulière dans le cas d'activités saisonnières et/ou exposées", précise la mairie de Paris sur son site Internet. En conséquences, plusieurs tronçons des quais de Seine ont été fermés, dont le "rive droite Tuileries - Henri IV", l'"île aux Cygnes" et la voie Georges-Pompidou entre Bir Hakem et pont de Garigliano. " Selon la Ville, cette montée des eaux est due à "la propagation de l'onde de crue venant notamment de la Marne ainsi que d'une succession de perturbations actives en fin de semaine dernière". La Seine pourrait par ailleurs monter à Paris entre 4,24 et 4,49 m mardi en fin de soirée.   Des chiffres au-dessus de la normale, qui restent néanmoins bien éloignés de ceux la "crue du siècle" où le niveau de la Seine était monté jusqu'à 8,62 mètres le 28 janvier, du 3 juin 2016 (6,10 m) et du 29 janvier 2018 (5,88 m).   

Des #cyberattaques ont ciblé l’#Institut #Pasteur, qui vient d’abandonner son projet de #vaccin contre le #Covid-19

L'Institut Pasteur a été victime d'une campagne malveillante via des attaques qui ont ciblé ses partenaires de recherche sur un vaccin contre le Covid-19, projet qui vient d'être abandonné faute de résultats convaincants. D'après les premiers éléments de l'enquête, aucune donnée sensible n'a pas été dérobée lors de ces intrusions.

Philippe Martin : « Une semaine de retard dans la #vaccination coûte à l’#économie française au moins 2 milliards » via @fadouce

L'économiste, qui préside également le Conseil d'analyse économique, estime que la France a encore des marges de manoeuvre budgétaires pour répondre à la crise. Celui qui a participé à l'élaboration du programme économique d'Emmanuel Macron estime qu'il y aura certainement besoin de nouvelles aides pour les entreprises et les ménages.